La réalité des situations globales peut-elle faire oublier la réalité de
l'individualisation ?
Le souhait probable de bien gérer les RH autorise-t-il à s'en accommoder seulement par dépit ?
La participation n'exige-t-elle pas d'intégrer cette donnée sans l'exagérer, sans en faire le pivot unique de la GRH ni l'omettre ?