La gestion des Ressources Humaines peut-elle occulter raisonnablement les aspects relationnels comme composante de satisfaction du travail sans que l'entreprise ait à en souffrir ?
Peut-on oublier que l'homme est un "animal" social qui s'accommode mal du silence, du manque d'attention, de l'indifférence, de l'ignorance d'autrui, de l'injustice, du manque de confiance.
Et qu'il a par dessous tout besoin qu'on lui reconnaisse de l'attention, de l'affection ?